Au début de l'été, j'ai vu des lucioles qui voletaient joyeusement. Ces insectes n'ont pas un vol aussi régulier que ceux des oiseaux ; il est instable et on ne peut pas suivre leur trajectoire.
De retour chez moi, j'ai été prise d'un sentiment d'extrême solitude. Il marchait dans la trajectoire lumineuse. Il y avait un signal silencieux qui convenait aussi bien aux lucioles qu'aux hommes.